La distinction entre « ceux des villes » et « ceux des champs » est un vrai sujet. Les différences de dotations qui ont pu s’expliquer dans le passé ne se justifient plus.
On nous invite toujours à aller vers le futur, mais il ne cesse de s’éloigner !
Nous aimerions vraiment que la DGF fasse l’objet de travaux sérieux permettant de réactualiser cette dotation, qui devient de plus en plus incompréhensible et assez injuste.