Madame la ministre, je me permets d’insister sur ce point.
Certes, le problème soulevé par ma collègue Catherine Conconne dans son amendement est valable tant dans les outre-mer que dans l’Hexagone. Toutefois, l’outre-mer ont une histoire particulière avec la psychiatrie. Regardez les travaux universitaires : les chercheurs disent, selon un angle psychiatrique, que nos sociétés sont « malades ».
Dans ces régions plus qu’ailleurs, la psychiatrie a été abandonnée.
Je veux bien entendre que cette question soulève un problème de tuyauterie administrative et de financement, mais elle doit être posée !
Aussi, il serait de bonne politique et de grande sagesse de soutenir cet amendement.