Vous avez parlé de travail, monsieur le ministre. Justement, les collectivités territoriales sont actuellement confrontées à une charge considérable : « zéro artificialisation nette » (ZAN), énergies renouvelables, zones d'accélération… Pour mettre tout cela en place, les collectivités de moins de 3 500 habitants ne disposent pas des mêmes équipes que celles qui en comptent 50 000. Elles vont arriver à saturation : c'est trop, surtout là où les équipes sont restreintes. Souvent, ce sont les élus qui s'impliquent de manière bénévole, mais il y a malgré tout une limite à ce qu'ils peuvent accomplir.