Et nous ne sommes pas favorables à ces nationalisations, tout simplement parce que, comme nous l’avons évoqué toute la matinée, la situation financière des comptes publics est déjà particulièrement dégradée et qu’il faut éviter le risque qu’elle s’aggrave davantage.
Et puis, il est clair que nous devons laisser place à l’initiative pour que l’économie progresse.
En tout état de cause, nous considérons que l’État dispose des outils permettant d’empêcher que des actifs stratégiques ne quittent le territoire. Nous faisons confiance au Gouvernement en ce sens.