La réserve parlementaire, emblème du clientélisme, pour reprendre un terme employé, a été le bouc émissaire idéal, guillotiné par la Macronie.
On devait passer de l'ombre à la lumière. Cela ne s'est pas produit…
Comme l'a dit M. Bocquet, c'était l'une des pierres du socle de l'antiparlementarisme, mondain, technocratique, populiste.
Mais la suppression de la réserve parlementaire a-t-elle amélioré le sort des territoires, des associations, des communes ?