Madame la secrétaire d’État, vous évoquez des sanctions à destination des colons israéliens. Pourquoi pas ?
Ce n’était pas le sens de mon intervention. Nous appelons à des sanctions contre l’État israélien.
Vous ne répondez pas à la question des moyens que nous pouvons mobiliser – j’en imagine les raisons.
Aux articles 46 à 48 du projet de loi de finances pour 2024, que le Sénat a examiné la semaine dernière, après un vote sans débat à l’Assemblée nationale, la France se porte garante de trois aides à l’Ukraine, y compris via des mécanismes européens. Ces garanties pourraient atteindre 500 millions d’euros en 2024.
Nous demandons que des mesures analogues soient prises, avant la fin de l’examen du budget, pour le peuple palestinien.
Il faut s’accorder sur ce point dès le prochain Conseil européen.