Madame la ministre, drôle de zigzag que le Président de la République fait subir à notre école !
Jean-Michel Blanquer parlait laïcité, autorité et confiance, avant de constater, impuissant, malgré une avalanche de circulaires, la dégringolade de notre école.
Pap Ndiaye passait par-dessus bord les principes chers à son prédécesseur. Sous couvert de mixité sociale, il a sapé les derniers espaces d’excellence de notre école.
Enfin, Gabriel Attal, pendant cinq mois et vingt jours, nous a offert une ode quotidienne à l’école, dont nous attendons toujours la traduction en actes.
Au lieu de zigzag, ne serait-il pas temps de fixer un cap et de s’y tenir dans la durée, avec, pour valeurs cardinales, la liberté, l’autorité, le mérite, l’excellence et la performance ?