Trop souvent, la question de la prédation emporte tout cela, laissant accroire qu’il existe un débat pour ou contre le loup ou l’ours, alors que, je le répète, celui-ci n’a pas lieu d’être.
Je forme donc le vœu d’une baisse de pression et d’une véritable régulation de la prédation. C’est à cette seule condition que la cohabitation sera vivable entre la faune sauvage et le pastoralisme.