Madame la ministre, je vous remercie de votre réponse ; pour autant, elle n’est pas satisfaisante.
Je le répète : ce projet de fusion se traduira par la suppression de 300 lits d’hospitalisation dans un territoire qui en manque cruellement, un territoire qui plus est populaire.
On ne peut pas, d’un côté, avoir un Président de la République qui déclare que la santé est une priorité pour lui et, d’un autre côté, supprimer 300 lits d’hospitalisation dans ces quartiers populaires.