Avec cet amendement, comme avec celui que le Sénat a rejeté hier concernant les zones de montagne, il me semble que nos collègues jouent un jeu très dangereux.
Dire que les zones à handicaps naturels pourraient soulever des problèmes particuliers, alors même que l’on veut affirmer le principe du prix unique du timbre, c’est ouvrir une brèche qui risque d’être exploitée par la suite et aller dans le sens inverse de l’objectif visé. Je demande donc instamment aux auteurs de ces amendements de les retirer.