Pour ce faire – je sais combien vous y êtes attentifs –, nous devons faire preuve d’une responsabilité budgétaire absolue.
La dette publique est une épée de Damoclès au-dessus de notre modèle social, au-dessus de la capacité à agir des jeunes générations.
C’est une menace majeure pour nos classes moyennes, qui seraient les premières victimes d’une cure massive d’austérité et d’une augmentation brutale des impôts.
Aussi, grâce à l’activité et au travail, grâce à la maîtrise des dépenses, grâce à des réformes structurelles, nous allons tenir notre cap, qui doit nous conduire à repasser sous les 3 % de déficit public d’ici à 2027.