Cet amendement tend à étendre aux stock-options l'assiette de perception de la contribution de 1, 1% créée pour le financement du fonds national des solidarités actives.
Je ne m’attarderai pas sur cet amendement, dont l’objet est proche de celui que j’ai défendu précédemment.
En revanche, j’aimerais revenir sur un point de la discussion que nous avons eue hier soir. Alors que je m’interrogeais sur les raisons pour lesquelles les dirigeants des banques responsables de la faillite de leur établissement en partaient avec des parachutes dorés, certains d’entre vous se sont montrés sceptiques.
Je les invite à se reporter à la page 15 du Monde d’aujourd'hui et à l’article intitulé : « Un ascenseur doré pour un dirigeant de Fortis ». Voici ce qu’on y lit :
« Ce n’est pas d’un parachute qu’a bénéficié Gilbert Mittler, l’ex-directeur financier de la banque Fortis, mais d’une sorte d’ascenseur doré. »