Monsieur le ministre, en cette fin de discussion générale, je suppose que vous n’êtes pas mécontent des interventions que vous venez d’entendre. En effet, malgré quelques réserves, un fort consensus s’est dégagé sur la nécessité d’avancer, et chacun ici vous a reconnu le mérite de proposer un projet, ce que n’ont pas fait vos prédécesseurs.
Même si j’ai apprécié l’ensemble des interventions, je retiens particulièrement celle de notre collègue Adrien Gouteyron, qui, en tant que membre de la commission des finances, apporte un éclairage tout à fait intéressant.
Pour reprendre une expression qu’il a eue un jour – je pense qu’il ne me démentira pas –, je dirai que nous sommes aujourd’hui « à l’os ». Cela signifie qu’il n’y a plus de crédits d’intervention, qu’il n’y a plus rien !