Indépendamment de la qualité de cet auteur, nous devons, me semble-t-il, faire très attention à préserver le mot « français » dans les appellations. « Institut français », c’est clair pour tout le monde : chacun sait y trouver la culture française. Ce préalable posé, on peut, selon le pays concerné, ajouter le nom de tel ou tel auteur représentatif de la culture française, comme de la culture locale.
Passionnément attaché à la francophonie, j’imagine mal qu’à Dakar, par exemple, on débaptise l’Institut français Léopold Sédar Senghor pour en faire l’Institut Victor Hugo ! Nous aurions un problème !