Mesdames, messieurs les sénateurs, j’aime la passion que vous mettez à nommer quelque chose que peut-être vous ne voterez pas ; c’est bien le signe qu’après tout l’appellation de cette création vous importe autant qu’elle nous importe.
La manière dont s’est déroulé cet échange d’arguments, souvent justes, résume bien, au-delà des prises de position politique et idéologique que je dénonçais tout à l’heure, le message que nous voulons transmettre sur la culture française.
D’abord, je signale que c’est nous qui avons déposé le nom « Institut français », à un moment où nous n’avions pas suffisamment réfléchi…