Voilà pourquoi toute hausse de la fiscalité est malvenue.
Faut-il ajouter que les pays concurrents bénéficient dans ce domaine d’une fiscalité égale à zéro ? Faut-il rappeler que, en France, le vin supporte une TVA de 19, 6 %, alors que celle-ci n’est que de 5, 5 % sur les autres produits agricoles ?
Bref, ce qu’attendent nos régions viticoles, ce sont des mesures d’accompagnement pour sortir de la crise et non des ponctions ou des prélèvements !