Vous avez bien fait, mesdames, messieurs les sénateurs, d’indiquer que le secteur viticole traversait des difficultés importantes. Je suis moi-même une élue de la troisième région viticole française.
C’est pourquoi je voudrais vous présenter quelques données chiffrées. La hausse de la charge fiscale, qui sera répercutée sur le consommateur, représente, par bouteille, 0, 05 centime d’euro pour du vin, 0, 11 centime d’euro pour du vin mousseux, 14 centimes d’euro pour un alcool fort, 2, 88 centimes d’euro pour un vin de Porto, 0, 97 centime d’euro pour du muscat de Frontignan, …