Monsieur le secrétaire d’État, je me réjouis que vous insistiez sur la subsidiarité renforcée des pays en matière agricole.
Je pense vous avoir démontré que chaque culture a sa spécificité. Outre la question de la date des semis, une parcelle ne présente pas les mêmes caractéristiques selon que l’on y cultivait précédemment du maïs, du tournesol ou du soja.
Par conséquent, même si l’agriculteur est tenu de respecter certaines normes environnementales, ce qui est évidemment nécessaire, laissons-lui la responsabilité de décider de la bonne date pour répandre ses intrants !