Effectivement, elle a déménagé et, dans son nouveau département, elle a obtenu l'agrément. On nage en pleine hypocrisie !
De même, j'ai eu connaissance de plusieurs cas où les droits ne sont pas les mêmes selon que l'on a les moyens ou que l'on est socialement défavorisé.
Ainsi, je connais deux personnes qui ont eu recours à des mères porteuses aux Etats-Unis : il en coûte environ 300 000 francs et on peut adopter en toute légalité, au consulat, un enfant né ainsi. Quand on est ouvrier ou employé et que l'on n'a pas de moyens financiers, ce n'est pas possible !
Donc, la législation actuelle nage en pleine hypocrisie et, tant que l'on laissera ce droit d'interprétation aux présidents de conseils généraux, il faudra encore la faire évoluer.