Monsieur le ministre, mes chers collègues, je suis peiné et profondément touché par certains des propos que j'entends dans cette Haute Assemblée.
Nous parlons de l'adoption d'enfants. Adopter un enfant, c'est aller trouver un petit coeur qui cherche le bonheur. J'ai l'impression que, sur le fond, nous sommes tous d'accord. Pourtant, nous sommes en train de dramatiser l'adoption, d'en faire un monstre. Mes chers collègues, nous ne sommes pas des ordinateurs : nous devons aussi travailler avec notre coeur !