C'est vrai, et il est vrai aussi que les délais dont nous disposons pour discuter de la proposition de loi qui nous est soumise sont très courts. Il suffit de rappeler que, ce matin en commission, nous avons examiné en une demi-heure les amendements présentés !
Vous n'êtes pas en cause, monsieur le président de la commission des affaires sociales, puisque vous êtes tenu de vous plier au calendrier imposé par le Gouvernement, mais, effectivement, cette proposition de loi aurait mérité plus de réflexion.
J'enregistre donc vos propos relativement conciliants et même ouverts en ce qui concerne ce débat, mais je maintiens l'amendement.