N’essayez pas de me déstabiliser, monsieur Blanc !
Les ARS se voient conférer des pouvoirs qu’aucune autre structure n’avait jamais détenus auparavant. Cela induira des dépenses importantes, que notre protection sociale semble, au regard de la situation des comptes sociaux, ne pas pouvoir assumer.
Par ailleurs, les principales missions confiées aux ARS –organisation de l’offre de soins et médico-sociale, gestion des établissements de santé dès lors que ceux-ci sont placés sous administration provisoire, impulsion aux regroupements d’établissements de santé – nous semblent relever davantage du budget de la nation que de celui de la sécurité sociale.
Les ARS seront dirigées par ce que nous appelons, dans notre jargon, …