M. Jean-François Copé, ministre délégué. Vous et moi avons un point commun : nous travaillons depuis des années sur les finances locales. Voilà quelques années, lorsque j'étais étudiant, vos ouvrages furent même parmi les premiers que j'ai lus sur ce sujet. Par conséquent, savoir que vous n'allez pas voter cette réforme me chagrine.