Parfaitement, mon cher collègue ! (Sourires.)
Le Gouvernement s’obstine jusqu’en ce jour de juillet à vouloir faire voter un texte qui ne passe pas dans le cœur des élus locaux. Si la réforme a été adoptée au Parlement, c’est parce qu’il fallait bien respecter le système majoritaire. Mais au fond de vous-mêmes, mes chers collègues, vous savez que ce n’est pas celle qui était attendue. Il ne s’agit pas de la troisième étape de la décentralisation, qui est nécessaire pour que notre pays continue de se moderniser et pour que les collectivités aillent de l’avant.
Je vous demande une ultime réflexion. En tout cas, soyez certains que nous en reparlerons, et l’avenir nous dira qui avait raison !