Madame la présidente, madame la ministre, mes chers collègues, je voterai bien entendu cet article 1er, et ce pour une double raison.
D'abord, je fais mienne la vision philosophique selon laquelle il faut réhabiliter le travail.
Ensuite, j'espère que le choc de confiance ainsi créé permettra non seulement de relancer la consommation, mais aussi et surtout, car cela me paraît plus important, de relancer l'investissement par une plus grande incitation des industriels en ce sens.