Monsieur le ministre, mes chers collègues, je voudrais vous faire part de mon expérience personnelle.
Je préside en effet le comité d'hygiène et de sécurité de ma commune de 88 000 habitants, au sein duquel siègent de manière officielle trois représentants du centre de gestion, mais à titre de conseil. Ils se garderaient bien d'ailleurs de vouloir nous contrôler, parce qu'ils n'en auraient pas le temps ! Ils sont présents à toutes les réunions et nous respectons leurs conseils.
En ce sens, le mot « conseil » devrait effectivement pouvoir suffire.