Le 31 décembre dernier, lors de ses voeux télévisés, le Président de la République a condamné avec la dernière énergie le communautarisme, en le plaçant sur le même plan que le racisme ou la xénophobie. Souvenez-vous-en : c'était il y a quelques jours !
Aujourd'hui cependant, on ne nous demande rien de moins que de consacrer constitutionnellement le communautarisme en tant que principe politique.