Pour nous, c'est une logique. Nous considérons qu'il est anormal que la majorité soit « surreprésentée » au sein du bureau du Sénat.
Il ne s'agit en aucun cas de comploter.
De surcroît, notre collègue Guy Fischer, qui a été vice-président pendant trois ans, a fait preuve de ses qualités et de ses capacités. Il faut aussi en tenir compte.
Le bureau du Sénat n'est pas un exécutif. Dès lors, il ne s'agit pas de savoir s'il correspond à la réalité électorale.
Je trouve légitime que M. Guy Fischer soit reconduit dans ses fonctions de vice-président, du point de vue tant de ses capacités que du pluralisme dans cette assemblée.