M. Jacques Muller. Est-ce parce que vos fondamentaux néolibéraux vous rendent définitivement hermétique à la pensée keynésienne, monsieur le ministre ? Est-ce parce que vous ne croyez pas au Grenelle de l’environnement, qui n’aurait été qu’une vaste illusion ? Quoi qu’il en soit, je vous le dis comme je le ressens, ce plan me laisse l’impression d’un immense gâchis, d’une occasion manquée pour relever les défis auxquels nous sommes confrontés. Pendant ce temps, le chômage s’accroît et nos concitoyens les plus modestes souffrent.