Ayant longtemps été présente sur le terrain au côté des familles, je voudrais appuyer les propos de mon collègue Alain Gournac : dès lors qu'une famille a des droits, elle a des droits ! Il est très difficile de les calculer, et beaucoup de gens ne peuvent prétendre à ces allocations. Je plaide notamment pour certaines familles nombreuses, qui ne sont pas forcément en difficulté sur le plan social mais qui, au moment de Noël ou des vacances, ne verraient pas d'un mauvais oeil le versement de quelque 300 euros auxquels elles ont droit.