Or, sur toutes ces questions qui sont à nos yeux des questions clefs, nous ne voyons poindre que de timides avancées. C'est la raison pour laquelle il nous sera difficile de voter le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2005 que vous nous soumettez, monsieur le ministre. Entre petites satisfactions ponctuelles, grandes inquiétudes pour l'avenir et pérennité de l'ensemble du système, le groupe de l'Union centriste a choisi dans son immense majorité de s'abstenir sur ce texte.
Il me reste à féliciter la commission des affaires sociales, notamment son président, Nicolas About, et les différents rapporteurs, Alain Vasselle, André Lardeux, Dominique Leclerc et Gérard Dériot, pour la qualité du travail accompli.