Je souhaite relativiser les chiffres qui viennent d’être avancés : le nombre d’entreprises concernées serait multiplié par dix et atteindrait 2 500. Cette approche me paraît quelque peu technocratique. En effet, dans certains départements ruraux, notamment en Dordogne, aucune entreprise n’emploie plus de 500 salariés ; les entreprises performantes n’atteignent pas ce seuil et elles sont donc exclues du dispositif. Celui-ci ne s’appliquera que dans les milieux très urbains bénéficiant d’une dynamique économique, tandis que les zones rurales seront laissées de côté.
Je soutiens donc cet amendement avec force.