Intervention de Charles Josselin

Réunion du 29 novembre 2007 à 15h00
Loi de finances pour 2008 — État b

Photo de Charles JosselinCharles Josselin :

Disons trente en tout !

Quant aux intervenants extérieurs, notamment l'AFD, ils sont montés en puissance.

Pour autant, n'utilisons pas des arguments comme celui du bureau des actions européennes ! À qui fera-t-on croire que la DGCID, en particulier dans le cadre de ses actions de développement, n'entretient pas, à coté de la Direction des affaires européennes, de relations spécifiques avec l'Europe ? Cette relation est nécessaire dans nombre de dossiers, comme le Fonds européen de développement ou les accords APE.

J'ai eu l'occasion, dans le passé, de regretter que le couloir de la DCE, la Direction de la coopération européenne, soit un passage obligatoire pour établir une relation entre l'administration française et la Direction du développement, à Bruxelles.

Aujourd'hui, les choses vont mieux et une relation directe est possible. Tant mieux ! C'est indispensable, car cette situation nous affaiblit par rapport à nos partenaires britanniques : leurs organisations de développement ont une relation directe avec le commissaire européen au développement.

Je suis opposé à cet amendement pour toutes ces raisons, mais aussi en raison de l'objectif affiché.

Monsieur le ministre de l'immigration, de l'identité nationaleet de la coopération ».

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