Monsieur Desessard, M. le rapporteur a fourni l’effort louable de chercher à simplifier la rédaction, car la multiplication des catégories risque ensuite de restreindre les possibilités d’action. En conséquence, je partage la position de la commission sur votre amendement n° 120.
Monsieur Gilles, vous abordez là un sujet très sensible, surtout dans le contexte de la crise, qui fait que les jeunes faiblement qualifiés rencontrent des difficultés croissantes pour accéder à un emploi. Compte tenu, aussi, de l’existence du « plan jeunes », je suis tenté de me laisser séduire par votre volonté de mettre un coup de projecteur sur ce public qui a tout particulièrement besoin de nous.
Dans ces conditions, le Gouvernement s’en remet, sur l’amendement n° 13 rectifié, à la sagesse du Sénat : il lui appartient de trancher cette question.