Figuraient dans l’amendement n° 98 les documents de planification, les programmes ou projets d’activité, de travaux, d’aménagements, d’ouvrages ou d’installations, ainsi que les interventions et activités humaines. Or l’objet de nos atermoiements en commission des affaires économiques portait sur le 3° du paragraphe I, à savoir les interventions et activités humaines.
Il était clair, d’emblée, que les zones Natura 2000 ne devaient pas être sanctuarisées. Cependant, ce point n’a pas toujours été bien compris par nos concitoyens, les acteurs locaux et les collectivités territoriales.
Les zones Natura 2000 ne doivent pas être des zones dans lesquelles les activités économiques ne peuvent pas s’exercer, car, contrairement à ce que l’on pourrait penser, celles-ci, lorsqu’elles sont encadrées, sont un gage de pérennité des biotopes.