Des regroupements trop importants, des périmètres trop larges, des suppressions de syndicats peuvent susciter de fortes craintes, notamment dans les secteurs ruraux.
Nous avons donc entendu avec plaisir le Premier ministre annoncer récemment qu’il fallait donner davantage de temps à la concertation pour achever les schémas, sans s’enfermer dans des contraintes de calendrier. Cette prise de position est une bonne nouvelle, car nous sommes nombreux à penser que la fixation au 31 décembre prochain de l’échéance pour la mise en place des nouveaux périmètres intercommunaux n’est pas de nature à permettre un débat serein sur un sujet aussi important pour l’aménagement de nos territoires.