Cet amendement paraît plus déclaratoire que normatif.
D’une part, il fait peser inutilement un soupçon sur France Investissement, qui est un dispositif d’État mis en place par le biais d’un partenariat entre la Caisse des dépôts et consignations et des professionnels privés de capital investissement.
Par ailleurs, depuis un an et demi, France Investissement a pris un bon départ. Son objectif est précisément d’accompagner les jeunes entreprises dynamiques dans la durée, avec un budget de l’ordre de 3 milliards d’euros entre 2007 et 2012.
La commission est donc défavorable à cet amendement.