Je suis moi-même élu d'un département agricole. Cela ne m'empêche pas d'assumer mes responsabilités. C'est pourquoi, en conscience, je soutiens l'amendement de la commission des finances. S'il le faut, je m'en expliquerai dans mon département et, lorsque viendra l'heure de vérité, c'est-à-dire au moment des élections, les agriculteurs - électeurs et citoyens - se détermineront.