Je trouve très désobligeants les propos que vous avez eus à mon égard, parce que, je le répète, il n’est pas du tout dans mes habitudes de caricaturer les propos de qui que ce soit. Je respecte trop le travail de mes collègues pour déformer ce qu’ils disent ou écrivent lorsqu’ils font part des travaux qu’ils ont pu engager !
En l’occurrence, je ne partage absolument pas votre vision politique et celle de la société que vous êtes en train de construire et que vous allez imposer à des millions de gens avec cette réforme des retraites.
Sur le fond, je continuerai évidemment à combattre vos propositions et l’ensemble des amendements ou des articles que vous pourrez suggérer ; mais, s’il vous plaît, ne dites pas que je caricature vos propos !