Il serait regrettable, pour une histoire d’alinéas, que je sois contraint d’émettre un avis défavorable. En l’état, bien évidemment, nous suivons l’avis de la commission, qui est tout à fait cohérente dans sa position.
Par conséquent, monsieur Fischer, le Gouvernement vous demande à son tour de bien vouloir faire « bouger » les employeurs à l’intérieur de cet article.