Je tiens à vous apporter deux explications à ce sujet, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur.
En premier lieu, nous estimons qu'il est légitime - nous n'avons cessé de le dire depuis le débat du projet de loi relatif à la politique de santé publique en 2004 - de définir les conditions d'accès à la profession de psychothérapeute.