Le dollar est peut-être fragile, mais cela reste à démontrer.
Le problème du système monétaire international n’a pas été abordé à Londres par le G20. Il devrait l’être à l’avenir.
On voit que la Banque centrale américaine a non seulement pris en charge dans son bilan des actifs douteux colossaux, comme l’ont d’ailleurs relevé MM. Arthuis et Marini, mais aussi commencé à souscrire pour 300 milliards de dollars de bons du Trésor, ce qui constitue une forme de prise en charge par la dette publique américaine.