Intervention de Luc Chatel

Réunion du 30 avril 2009 à 9h00
Communication sur les suites du sommet du g20 — Débat interactif et spontané

Luc Chatel, secrétaire d'État :

Madame le sénateur, nous estimons que si l’instrument des bad banks peut être utile en certaines circonstances, aux États-Unis ou au Royaume-Uni, il n’est pas forcément adapté à la situation des banques françaises.

Un débat a lieu – vous l’avez indiqué –, mais les banques françaises sont, dans leur ensemble, plutôt bien capitalisées et disposent de marges de manœuvre pour absorber d’éventuelles nouvelles dépréciations d’actifs.

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