Devant votre intransigeance, monsieur le Premier ministre, l’inquiétude se transforme en colère.
Oui, une réforme des retraites est nécessaire, mais la vôtre est injuste !
Elle est injuste, car l’effort de financement que vous exigez ne concernera que les salariés. Ceux-là la financeront à hauteur de 85 %, tandis que le capital sera encore une fois épargné. Avec vous, l’injustice sociale est organisée, normalisée, élevée au rang de dogme !