Non, monsieur Mercier ! J'ai confiance en l'avenir. Je souhaite bâtir « la France d'après ». Dans ce contexte, je pense qu'il ne faut pas préjuger de ce que sera le contenu de ce débat, ni même partir du principe qu'il aura lieu.
Si, malgré tous ces arguments, cet amendement était maintenu, je souhaiterais qu'il soit repoussé, mais cela me déchire de devoir vous le dire, monsieur le rapporteur général.