On avait tout simplement l'esprit ailleurs...
Il vaut donc mieux que nous, les soutiers, les budgétaires, qui essayons de faire que l'État fonctionne en évitant les dérives, nous nous fassions entendre au moment utile, et non pas sous l'empire d'un emportement psychologique extraordinaire qui conduit à sous-estimer l'importance de considérations certes, bassement matérielles, mais qu'il nous revient de traiter.
C'est donc, en réalité, pour aider le ministre du budget du moment - quel qu'il soit -, que la commission des finances, a déposé cet amendement, fidèle à ses principes habituels.