Il nous faut donc nous y atteler rapidement.
J'ajoute que cette réforme n'a rien à voir avec celle qui concerne les avantages accordés à l'outre-mer : là, ils devront être réduits pour tout le monde. Dans le cas qui nous occupe, il n'est nullement question de porter atteinte aux droits acquis. Personne n'aura donc à souffrir des décisions que nous prendrons ce soir.