Je m’exprimerai sur la démographie médicale lorsque nous examinerons les articles portant sur cette question. Je donnerai alors le point de vue de la commission sur le prétendu principe constitutionnel de liberté d’installation des médecins, principe constitutionnel qui, je vous le rappelle, n’existe pas. Je reviendrai également sur l’affirmation, à mes yeux erronée, selon laquelle la santé en France serait la meilleure au monde. Mais nous aurons l’occasion de débattre de ces questions à l’occasion de l’examen des articles concernés.
Dans l’immédiat, je souhaite revenir sur la discussion qui vient d’avoir lieu.
Nul ne peut mettre en doute la sincérité de Mme la secrétaire d’État, ni la mienne, ni celle de notre collègue Philippe Leroy, qui a déposé l’amendement n° 1000 rectifié bis.