Or, dans le cadre d’une prise en considération globale, il importe de tenir compte de la population qui est accueillie dans ces établissements, dont on voit la fragilité.
Dans mon département - je suis, au sein du conseil général, vice-président chargé de l’action sociale -, sur les 1 515 lits en USLD, un peu plus de 1 000 ont été transférés en EHPAD.
Une clause fixe à trente le nombre de places nécessaires pour créer une nouvelle unité de soins redéfinis. Or, si l’on avait appliqué les coupes PATHOS aux EHPAD, il aurait certainement été possible, non seulement dans l’Ille-et-Vilaine, mais sur l’ensemble du territoire national, de créer des unités de soins de longue durée redéfinis.
Pourquoi s’est-on arrêté ?