Effectivement, nous assistons à une véritable révolution.
Jusqu’à présent, la CNAM gardait jalousement ses données, qui restaient difficilement accessibles. Mme la ministre doit veiller à ce que la convention nationale ne puisse régler que des problèmes statistiques, et non des problèmes individuels. Il est très important que certaines données ne sortent jamais du réseau des caisses.
Certes, pour élaborer une politique nationale, il faut disposer de statistiques ; pour autant, l’anonymat me paraît devoir être préservé.